Édition du vendredi 22 juin 2012
La Commission européenne présente un plan visant à soutenir l'emploi et la croissance dans les régions ultrapériphériques
La Commission européenne vient d’adopter une communication intitulée «Les régions ultrapériphériques de l’Union européenne: vers un partenariat pour une croissance intelligente, durable et inclusive», qui propose une stratégie renouvelée pour huit régions: quatre départements français d’outre-mer (Guadeloupe, Guyane, Réunion et Martinique), la collectivité française d’outre-mer de Saint-Martin, les régions autonomes portugaises des Açores et de Madère, ainsi que la communauté autonome espagnole des îles Canaries (voir le communiqué).
L’objectif est d’aider les régions ultrapériphériques (RUP) à exploiter leur potentiel, essentiellement par la diversification et la modernisation de leurs économies. Elles pourront le faire «en développant de nouvelles pratiques dans les secteurs traditionnels tels que l’agriculture et la pêche, en profitant de leur biodiversité et de la richesse de leurs écosystèmes marins pour élaborer de nouveaux produits, ainsi qu’en tirant parti des atouts qu’elles possèdent pour l’astrophysique, les énergies renouvelables et les activités de recherche dans les domaines de l’espace et du climat».
La communication explique par ailleurs la manière dont, dans un très large éventail de secteurs, la Commission s’attachera à atténuer les contraintes auxquelles ces régions sont soumises en permanence, à assurer leur pleine intégration dans le marché unique et à approfondir leur intégration avec leurs voisins géographiques.
Cette communication vise «à aider les RUP à trouver leur place dans les nombreux projets lancés dans le cadre de la mise en Å“uvre de la stratégie "Europe 2020", en faisant en sorte que les différentes politiques européennes prennent davantage en compte que par le passé leur situation spécifique».
Si elles continueront à bénéficier d’un soutien dans les domaines traditionnels comme la pêche et l’agriculture, avec ce document, la Commission européenne expose également «la manière dont il conviendra de les aider à optimiser leur potentiel dans de nouveaux secteurs». Elle indique où les RUP peuvent trouver de l’aide et les possibilités que leur offrent les politiques de l’Union européenne dans les domaines de la recherche, de l’innovation, de l’esprit d’entreprise et des compétences, afin de soutenir des secteurs aussi variés que le tourisme et la recherche spatiale. La communication explique également le soutien dont peuvent disposer les RUP pour conserver leurs atouts spécifiques par la protection de leur environnement.
Le statut particulier des huit régions ultrapériphériques est défini par l’article 349 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE), qui énumère les handicaps auxquels elles sont confrontées: éloignement, insularité, faible superficie, relief et climat difficiles et dépendance économique vis-à-vis d’un petit nombre de produits.
Les présidents de toutes les régions ultrapériphériques se réuniront les 2 et 3 juillet à Bruxelles pour débattre avec la Commission européenne d’une série de sujets qui concernent leurs régions.
L’objectif est d’aider les régions ultrapériphériques (RUP) à exploiter leur potentiel, essentiellement par la diversification et la modernisation de leurs économies. Elles pourront le faire «en développant de nouvelles pratiques dans les secteurs traditionnels tels que l’agriculture et la pêche, en profitant de leur biodiversité et de la richesse de leurs écosystèmes marins pour élaborer de nouveaux produits, ainsi qu’en tirant parti des atouts qu’elles possèdent pour l’astrophysique, les énergies renouvelables et les activités de recherche dans les domaines de l’espace et du climat».
La communication explique par ailleurs la manière dont, dans un très large éventail de secteurs, la Commission s’attachera à atténuer les contraintes auxquelles ces régions sont soumises en permanence, à assurer leur pleine intégration dans le marché unique et à approfondir leur intégration avec leurs voisins géographiques.
Cette communication vise «à aider les RUP à trouver leur place dans les nombreux projets lancés dans le cadre de la mise en Å“uvre de la stratégie "Europe 2020", en faisant en sorte que les différentes politiques européennes prennent davantage en compte que par le passé leur situation spécifique».
Si elles continueront à bénéficier d’un soutien dans les domaines traditionnels comme la pêche et l’agriculture, avec ce document, la Commission européenne expose également «la manière dont il conviendra de les aider à optimiser leur potentiel dans de nouveaux secteurs». Elle indique où les RUP peuvent trouver de l’aide et les possibilités que leur offrent les politiques de l’Union européenne dans les domaines de la recherche, de l’innovation, de l’esprit d’entreprise et des compétences, afin de soutenir des secteurs aussi variés que le tourisme et la recherche spatiale. La communication explique également le soutien dont peuvent disposer les RUP pour conserver leurs atouts spécifiques par la protection de leur environnement.
Le statut particulier des huit régions ultrapériphériques est défini par l’article 349 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE), qui énumère les handicaps auxquels elles sont confrontées: éloignement, insularité, faible superficie, relief et climat difficiles et dépendance économique vis-à-vis d’un petit nombre de produits.
Les présidents de toutes les régions ultrapériphériques se réuniront les 2 et 3 juillet à Bruxelles pour débattre avec la Commission européenne d’une série de sujets qui concernent leurs régions.
Suivez Maire info sur Twitter : @Maireinfo2